Un nouveau projet pour Ciitelecom : Puma-X

Ciitélécom est devenu depuis 32 ans expert des automates d’appels en cas de risques climatiques, industriels, sécuritaires, sanitaires, …. Pour cela, la société a mis au point un puissant outil permettant de prévenir de façon massive et ciblée toute personne potentiellement concernée par la survenue d’un danger, et de suivre la diffusion et le retour de ces informations. 

 

Portée par un marché en plein développement, dû à l’intensification des risques encourus par les populations et à la pression législative sur les élus des collectivités, l’entreprise a récemment fait construire un nouveau siège social plus grand, avenue Rhin et Danube au Mans pour y emménager en avril dernier.  Avec 15 salariés, elle affiche une croissance annuelle de 17 % depuis 2015.

 

Elle développe également son réseau d’agences en France afin de mailler le territoire, la proximité étant un atout majeur sur ce marché. Elle a ouvert six sites (Aix-en-Provence, Toulouse, Lyon, Niort, Rennes et Lille) en plus du siège au Mans.

 

À l'occasion du salon Global Risk Expo qui a eu lieu au centre des expositions du Mans le 6 avril dernier, l'entreprise a présenté le projet collaboratif Puma-X, dont elle est le chef de file. Fort du constat que l’approche actuelle de la gestion des risques à la population semble dépassée face aux nouveaux enjeux, sept acteurs privés (Ciitélécom, Predict Services, Prysm, JIPE, IGO, Jaguards) et académique (Imredd / Université Côte d'Azur), tous experts du secteur et déjà réunis au sein du pôle de compétitivité Safe Cluster, travaillent depuis mi 2021 à la conception d’une plateforme unique, interopérable, modulaire et évolutive pour traiter toutes les formes de risques.

 

"L’innovation Puma-X repose sur un modèle disruptif qui rassemble au sein d’une plateforme unique l’intégralité des solutions et fonctionnalités nécessaires et disponibles pour gérer une crise", explique Philippe Jauneau, dirigeant de Ciitelecom et porte-parole de Puma-X.

 

Ce projet, qui s’appuie sur un investissement de 3,8 millions d’euros en R&D est en phase de finalisation. Il devrait être pleinement opérationnel début 2024.